Partager les profits, changer des vies
Nos projets pour les communautés sont au cœur de notre activité, ils sont notre source de motivation, notre but.
Avec chaque paquet de café que nos clients achètent, , ils soutiennent l’enfant d’un producteur de café grâce à des projets que nous mettons en œuvre sur place. En plus de payer un prix élevé d’achat à l’agriculteur, nous investissons ainsi dans les communautés sans lesquelles notre succès serait impossible.
Avec la communauté
Avec les agriculteurs, les enseignants et les parents d’élève, nous avons tout d’abord identifié les problèmes et y avons cherché ensemble des solutions.
Avec la communauté
Avec les agriculteurs, les enseignants et les parents d’élève, nous avons tout d’abord identifié les problèmes et y avons cherché ensemble des solutions.
Nous testons ensuite ces solutions à l’aune d’études scientifiques. Car pour nous, l’efficacité est plus importante que toute idéologie. Et surtout en Afrique il manque souvent juste d’un peu d’huile dans les rouages.
Pourquoi des vermifuges ?
Le déparasitage des écoliers est tout bonnement l’un des moyens les plus efficaces pour promouvoir le développement ! Les vers causent des douleurs d’estomac et des problèmes de concentration et de malnutrition. Pas idéal pour motiver un enfant à aller à l’école, non ? Une étude menée au Kenya par le Poverty Action Lab du MIT montre ainsi qu’un vermifuge peut réduire l’absence scolaire par 25%. Les effets à long terme sont encore plus impressionnants: après dix ans, les enfants déparasités gagnent en moyenne 20% de plus.
Déparasitage = développement.
Pourquoi des repas scolaires ?
Parce que nous voulons donner aux enfants une motivation supplémentaire d’aller à l’école ! Wendmage Gute, le directeur de l’école Bufeta Gibe, nous a confié : « Pendant la récolte du café, les enfants viennent moins à l’école ». C’est une vérité inconfortable – mais nous ne voulons pas l’ignorer. Même dans les coopératives certifiées commerce équitable où le travail des enfants est interdit, les enfants aident leurs parents à la récolte. Cela ne doit pas être un problème en soi : en Suisse, les enfants d’agriculteurs aident souvent leurs parents – mais ils vont à l’école ! Nous offrons donc du pain et du miel à l’école pendant la saison des récoltes. Et ça marche ! Lors de projet pilote en 2016, presque tous les enfants sont venus à l’école.
Pourquoi des repas scolaires ?
Parce que nous voulons donner aux enfants une motivation supplémentaire d’aller à l’école ! Wendmage Gute, le directeur de l’école Bufeta Gibe, nous a confié : « Pendant la récolte du café, les enfants viennent moins à l’école ». C’est une vérité inconfortable – mais nous ne voulons pas l’ignorer. Même dans les coopératives certifiées commerce équitable où le travail des enfants est interdit, les enfants aident leurs parents à la récolte. Cela ne doit pas être un problème en soi : en Suisse, les enfants d’agriculteurs aident souvent leurs parents – mais ils vont à l’école ! Nous offrons donc du pain et du miel à l’école pendant la saison des récoltes. Et ça marche ! Lors de projet pilote en 2016, presque tous les enfants sont venus à l’école.
Et les tests oculaires ?
1000 écoliers à Bufeta Gibe et pas une seule paire de lunettes. Ce n’est pas parce que les Ethiopiens ont une meilleure vue que les enfants suisses. Mais tout simplement parce que l’offre manque. Et comme dans les écoles éthiopiennes tout se passe au tableau noir, qui ne peut y lire est pénalisé. Une paire de lunettes peut être salvatrice. Mais il faut bien identifier les enfants touchés. Nous avons testé la vue de 870 écoliers à Limmu fin 2016. Tous ceux qui en avaient besoin portent désormais des lunettes – bien que les parents aient dû payer une partie du prix eux-mêmes. Car si une paire de lunettes n’est pas soigneusement traitées et utilisées, elle ne sert à rien !
Changer le monde par le café